Je fais l'autruche. Pour changer. C'est vachement efficace comme réaction au stress.
J'illustre.

Au lieu de plonger le nez dans mes cours, histoire d'arriver aux partiels de demain en sachant à peu près de quoi je parle, et ça vaut aussi pour tous les autres partiels de la semaine, pour lesquels je n'ai pas ouvert mes cours, je regarde le quatrième épisode de La Caverne de la Rose d'Or, parce que j'ai creusé mon découvert en m'offrant le coffret, enfin vendu. Rappelons que l'épisode trois fait partie des références essentielles de ce blog. Pour ceux qui n'auraient pas encore compris. Ou bien je réponds aux commentaires sur Facebeurk, et je peux dire que c'est sans fin. Ou encore j'écris un article sans intérêt sur un blog sans intérêt.

J'aurais pu m'en sortir si ça avait été une dissert' ou une étude de texte, bref un truc dans le genre. Mais il se trouve que je serai interrogée sur des questions de cours, du cours pur. Je peux vous assurer que je suis mal. J'ai jamais appris mes cours. Encore moins par cœur. Et j'ai jamais appris à apprendre.

Évidemment, comme je n'ai rien foutu, je stresse. Et comme l'angoisse me tétanise, je ne fous plus rien.
Cercle vicieux.
C'est pas bientôt terminé, cette affaire ? Pas l'impression que j'arriverai à en sortir un jour.

Et puis, tout s'enchaine en ce moment. J'aurai sans doute l'occasion, après ces foutus examens, de faire une rétrospective.
La loi de Murphy en pratique.