Toutes ces années à m'épancher sur l'épaule du reste du monde. A me déshabiller au fur et à mesure des articles. A rouvrir des plaies. Pour essayer de les panser.
Sauf que. Comme toujours. Le naturel revient au galop. Noyer le poisson. En dire suffisamment pour ne pas aller au fond des choses. Se taire.
Et faire son tour de blogosphère quotidien.
Les mots des autres.