Comment trouver les mots pour t'expliquer encore une fois que je suis en train de sombrer ? J'ai l'impression d'avoir passé ce blog à l'écrire.
Sinon te dire que j'ai cédé. Aux jolis bonbons qui font sourire.

C'est presque pour lui, que je l'ai fait. Parce que j'en ai marre de le foutre en l'air avec mes conneries. Parce que je n'ai pas envie de le voir mal à cause de moi. Parce que je n'ai pas envie d'en arriver à me dire qu'il serait mieux sans moi. Même si c'est le cas.

Après n'avoir pas été foutue de me lever aujourd'hui pour mes examens. Alors que j'étais réveillée. Forcément, je ne dors plus. Je n'avale plus rien depuis des semaines. Des mois, en fait. J'oublie de manger. Même si je reste enfermée. A sécher les cours. Et ça ne m'enivre plus de sentir mes os saillir. J'en ai juste plus rien à foutre. Et ça ne passe pas.

Et même si mes hormones me poussent à me laisser emporter dans des histoires improbables. Parce qu'après John Lemon, une nouvelle tornade m'a retourné le cerveau. Je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée d'en parler. Surtout que c'est la faute aux hormones, je ne vois que ça. Je ne peux voir que ça. Autrement, ce serait complètement surréaliste, comme histoire. Je n'en suis pas sortie, d'ailleurs. Il est probable que ça fasse l'objet d'un autre post. Enfer et damnation.

J'essaye juste de garder la tête hors de l'eau. J'en ai jusqu'au cou.