Trois articles. Scribouillés, jamais publiés. C'est inutile. Obsolète. Bref, c'est trop tard.
Je suis passée d'un. Au pire, je pourrai toujours me foutre en l'air. Qui m'a fait tenir, ces derniers mois. A un. Et si je montais sur la fenêtre. Juste pour voir. Des fois que. Sauf que. J'habite au premier. Au mieux, je peux me casser une jambe. C'est con, je ferais pas une belle morte. Je tiens à garder un minimum de dignité. Si je ne pense pas à la souffrance que je causerai, je pense à l'image que je laisserai. Je ne veux pas que mes sphères s'entrechoquent. Ces espaces que j'ai mis tellement d'énergie à créer et à entretenir. De toute façon, quand je me déciderai, je brûlerai tout. Il n'y a pas de raison. Si mon corps finit en cendres, ma vie aussi. Le jour où. Il sera trop tard. En attendant, je vais continuer. A survivre. Je n'ai pas tellement le choix. Juste que je suis lasse de me battre.
Je suis en train de tout détruire. Ma vie. Les autres. Les miens. Je suis en train de tout laisser tomber. Encore une fois. Quand je l'aurai fait. Il me restera une piste. Une seule et unique. Avant de. Un dernier espoir. Pour essayer de trouver la paix durablement. Et en vie.

Sinon. Moi, ça va.