En fait, j'ai plein de trucs à vous raconter, mais j'crois que j'ai un peu perdu l'habitude. J'ai un post qui traine dans mes fichiers depuis plus d'une semaine. J'ai envie de me plaindre aussi. Parce que j'suis en colère. Et j'dois vous raconter un chouette moment que j'ai vécu aujourd'hui. Bref, je sais pas par où commencer.
On va se débarrasser du bureau des plaintes tout de suite. Pour changer de guichet, attends le prochain billet.

Je peux tout de suite rayer ma troisième bonne résolution. Qui était pourtant bien partie. Pas parce que je l'ai déjà atteinte, mais parce que c'est foutu pour cette année. Bref, je ne pourrai pas participer au stage de solfège chanteur où je m'étais inscrite. Que j'avais démarré, même. Et ce n'est pas de mon fait. « On a fait une erreur, on est désolé. » Ouais. C'est pas comme si tu t'en rendais compte un mois après l'inscription, hein. Et c'est pas comme si je t'avais demandé de vérifier et que tu m'avais assuré que tout était bon. Si ma p'tite voix ne me retenait pas, je t'insulterais. Connasse. Et je casserais tout. Je suis déçue. Et en colère. Vraiment beaucoup. Si j'avais un sac de frappe, il prendrait cher. Faudrait que j'investisse.
Zizanie, où l'art d'exprimer ses émotions. J'y peux rien, c'est la faute de mon thème astral. Tu l'auras compris, c'est pas trop la joie dans le dedans de moi-même. Je suis légèrement très très énervée.

Et puis merde, j'arrive pas à ouvrir l'interface de gestion de mon blog. Il lui arrive quoi à Dotclear ? Génial, j'suis en train d'écrire sans savoir si je pourrai poster. Ça va encore errer une semaine sur mon bureau, c't'affaire. Ah ben non, raté, maintenant, c’est ma bécane qui décède par morceaux.
Oui, j'suis grognon, et puis j'ai failli foutre le feu à la cuisine. En réchauffant un truc au micro-ondes. Si, si. J'arrive à faire des choses improbables. Je m'en passerais bien. D'assister à un début d'incendie dans une assiette.

En résumé, ma balance karmique est détraquée, et j'apprécierais assez qu'elle ne tarde pas trop à se rééquilibrer. Voilà, Zizanie, je pense que tu peux t'arrêter là, maintenant. Tes bonnes résolutions de positivisme, tout ça.