« Vous êtes en grand danger social. »

C'est ce que m'a dit Docteur Freud, il y a deux semaines. La bonne réaction aurait été de me secouer. J'ai esquivé. J'ai passé ma semaine à dormir.

« Pour qui vous vous prenez ? »

Toujours Docteur Freud, la semaine suivante, quand je lui ai dit que je n'arrivais pas à demander de l'aide. Ah ça, il n'hésite pas à me foutre des claques.

Ce qui ne me pousse pas à bosser. Non, je n'y arrive pas. Oui, je suis encore en train de tout faire foirer. Et j'en ai assez d'écrire les mêmes choses. J'en ai assez de me lamenter. Et de faire les mêmes erreurs. Si quelqu'un à une idée lumineuse pour me foutre des coups de pieds au cul, je prends.

En attendant, des bonbons qui font sourire avec un grand verre de vodka, s'il vous plaît. Et s'il ne vous plaît pas, je me servirai moi-même.

Devant un visionnage du grandiose et incomparable Les Yeux dans les bleus. N'est pas Zizou qui veut. De toute façon, moi je l'aime pas, Zizou. Je vais plutôt faire comme Guivarc'h et aller vendre des piscines dans un coin paumé de Bretagne. Guivarc'h, Guivarc'h... c'est bizarre, ce nom me dit quelque chose. Enfin tu vas me dire, au moins on l'a vu sur le terrain. C'est pas comme Charbonnier. Lui, y'avait pas de risque qu'il rate ses occasions. Quoi de mieux que le foot pour arrêter de penser ?

J'admets ne pas avoir fait le moindre effort pour donner à ce post un semblant de cohérence et d'intérêt.